

Jolies Ballerines
Des chaussures à petits prix toute l'année quel que soit votre style !
Jolies ballerines femme
Elégantes et confortables, les ballerines se glissent au pied des femmes avec la légèreté d’une plume. Au point de donner à celles qui les portent l’agréable sensation de marcher pieds nus sans exposer la sensibilité de leur voûte plantaire à la froideur d’un carrelage, ni confronter la fragilité de leurs orteils à la rudesse d’une plaque de bitume.
Ballerine pour la maison, ballerine pour les sorties
La ballerine est un compromis équilibré qui joint au confort pratique d’un chausson d’intérieur la ligne classieuse d’une chaussure, suffisamment belle et confortable pour être portée dans la rue ou au travail. Un double atout qui, depuis plusieurs années, érige ces modèles fins et raffinés au rang d’incontournables au sein des garde-robes féminines.
Au diapason de cette nouvelle tendance, mamans et jeunes filles apprécient la fonction utilitaire des ballerines à la maison, autant que leur potentiel esthétique dont elles savent utiliser toutes les subtilités créatives afin de valoriser leurs tenues vestimentaires en société, surtout à la belle saison même si l’été n’a plus l’apanage exclusif de cette pièce souple, sage et légère.
Besson Chaussures accompagne ce puissant retour en grâce en proposant, dans son e-shop, un large assortiment de jolies ballerines à chausser en toutes circonstances chez soi comme à l’extérieur du domicile pour flâner sur une terrasse, marcher sur la plage, ou faire un brin de shopping entre amies.
Trouvez la ballerine idéale dans la boutique Besson Chaussures
Les puristes y trouveront les classiques indémodables aux formes arrondies et aux semelles plates, tout de cuir ou de tissu revêtus, ornés sur le devant de lacets, d’un nœud décoratif ou d’une boucle argentée. Le plus audacieux auront le choix entre des modèles montés sur des semelles plus épaisses et flexibles, de multiples ballerines aérées par des lanières entrecroisées, ou parées de motifs marquetés de trous de ventilation.
Notre catalogue comprend également des pièces mixtes qui combinent les semelles épaisses, crantées et antidérapantes d’une basket, et le profil léger et découvert d’une ballerine : idéal pour faire de longues marches et s’adonner à une activité physique sans lester ses pieds d’une paire de sneakers plus lourdes, chaudes et encombrantes. D’autres marques mélangent subtilement les genres en combinant les courbes caractéristiques d’une tige de ballerine à une semelle en cordes tressées, typiques des espadrilles.
Le choix des couleurs et des textures, tout aussi large, traduit la capacité de cette chaussure légère à se fondre dans une infinité de registres : cuir blanc uni ou contrasté de noir sur le contrefort et le bout du pied, cuir lisse sombre, rouge, brillant ou cognac, tissu bleu velouté, revêtement doré à texture graphique, motifs floraux ou dessins multicolores façon « mosaïque »…
La ballerine, à la scène comme à la ville
L’image de sagesse et de grâce véhiculée par la ballerine tient à son origine artistique : le mot désignait initialement les danseuses de ballet qui exerçaient leur métier avec des chaussures à talon. On attribue traditionnellement à Marie-Anne de Camargo, femme de spectacle de l’époque de Louis XV, l’introduction du modèle pla dont elle s’équipa elle-même pour faciliter ses mouvements sur les scènes parisiennes. La ballerine, telle qu’on la connaît aujourd’hui, est sans doute née à ce moment-là (XVIIIème siècle) et finit par qualifier, au fil du temps, autant les danseuses que leurs discrets petits « chaussons » silencieux.
La ballerine descendit dans la rue bien plus tard à la faveur d’une inspiration géniale de Claire McCardell, pionnière du prêt-à-porter américain qui s’appuya, dans la première moitié du XXème siècle, sur la maison de couture Capezio pour sortir les premiers modèles « hors-scène » destinés à un usage quotidien et non artistique. Son initiative précéda de peu celle de Jacob Bloch, créateur au début des années 1930 d’un atelier à Londres spécialisé dans la confection de chaussures de danse améliorées : la ballerine, dans son acception actuelle, remonte sans doute à cette époque.
En France, c’est la styliste Rose Repetto qui, après-guerre, prit le relais en mettant au point des nouveaux modèles conçus à partir d’une méthode de fabrication inédite, le fameux « cousu-retourné ». Ces ballerines, déclinées en version rouge, firent sensation aux pieds de Brigitte Bardot dans le film « Et Dieu Créa la femme » (1956).
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